Le problème
Chaque femme utilise en moyenne des protections hygiéniques durant 36 ans de sa vie. C’est donc un petit objet qui peut devenir un grand problème lorsque celui-ci est jeté dans la toilette et passe entre les mailles du réseau d’eaux usées. En effet, le tampon est tristement célèbre sur les plages, que ce soit l’applicateur ou le tampon
lui-même. Il faut ajouter que les tampons sont fabriqués avec des composés synthétiques dérivés d’hydrocarbures et mettront entre 400 et 450 ans à se décomposer.
Les astuces
Il existe maintenant des produits pour remplacer les tampons, comme la coupe menstruelle par exemple. Évidemment, cette méthode ne convient pas à toutes. Si vous poursuivez avec les tampons, privilégiez ceux avec les applicateurs en carton, et bien sûr, jeter le tout (applicateur ET tampon utilisé) dans la poubelle et non dans la toilette. Vous pouvez aussi contacter votre MRC pour connaitre les programmes de soutien pour les achats de protections hygiéniques réutilisables.
Fait surprenant
Selon le réseau National Women’s Health Network, ce serait 7 millions de tampons qui sont jetés chaque année dans le monde (ou 222 par seconde).
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Un livret où se trouve l’information de cette campagne et bien plus encore a été produit. Vous pouvez le trouver en version web par ici et en version imprimable par ici.
« Cette initiative est prévue dans le Plan d’action 2018-2023 de la Stratégie québécoise de l’eau, qui déploie des mesures concrètes pour protéger, utiliser et gérer l’eau et les milieux aquatiques de façon responsable, intégrée et durable. »
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