Le problème
S’il était exclusivement composé de latex naturel à 100 %, les condoms seraient biodégradables. Toutefois, pour en améliorer l’élasticité, l’épaisseur et la confortabilité, des éléments synthétiques y sont ajoutés. Dans certains préservatifs, une partie de ces éléments sont des produits dérivés du pétrole, ce qui les rend donc non biodégradables, et c’est ce pour quoi ils ne doivent jamais être jetés aux toilettes. Ils peuvent aussi causer préjudices aux animaux aquatiques qui pourraient les ingérer.

Les astuces
Évidemment, c’est plus difficile de réduire les déchets lorsqu’on parle de protection sexuelle. L’astuce ici est bien entendu de les mettre à la poubelle. Si vous voulez absolument les faire disparaître de la vue des autres, jetez-les à l’intérieur de quelque chose que vous auriez déjà jeté de toute manière, comme des emballages de bonbon par exemple. Certains produits sont aussi fabriqués en latex naturel, il est alors possible de se tourner vers eux.

Fait surprenant
Plus de 4 milliards de préservatifs sont fabriqués chaque année, dont une grande partie avec des composés dérivés du pétrole. Et avis aux végans, certains produits classiques contiennent de la caséine, protéines issues de produits animaux (lait).

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Un livret où se trouve l’information de cette campagne et bien plus encore a été produit. Vous pouvez le trouver en version web par ici et en version imprimable par ici.

 

« Cette initiative est prévue dans le Plan d’action 2018-2023 de la Stratégie québécoise de l’eau, qui déploie des mesures concrètes pour protéger, utiliser et gérer l’eau et les milieux aquatiques de façon responsable, intégrée et durable. »

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